Adolescente, mon livre favori était « Le Bal du comte d’Orgel », le moins connu des deux romans de Raymond Radiguet, génie de la littérature mort à 20 ans. Lire la suite

Adolescente, mon livre favori était « Le Bal du comte d’Orgel », le moins connu des deux romans de Raymond Radiguet, génie de la littérature mort à 20 ans. Lire la suite
Dans le supplément de Libé sur les faits divers, il y en a un qui a attiré particulièrement mon attention et m’obsède.
Un jeune homme vivait dans un petit appartement.
En l’absence de son voisin, il a cassé le mur mitoyen à coups de masse, est passé de l’autre côté, et s’y est installé, trouvant l’endroit accueillant. Lire la suite
Rescapée des accidents, réchappée des maladies, consolée des bleus à l’âme, relevée des KO… me voilà.
Bien sûr je porte des stigmates.
Une fois, j’ose me regarder dans le miroir, nue, à la sortie du bain ; pas simplement me voir en passant, me scruter vraiment : sur mon corps maigre, la peau élastique est devenue crocodile. Mes cheveux sont fins et blancs comme des nuages, des taches mouchètent mes bras, mes mains, mes jambes, autant de traces d’usure. Lire la suite
On se souvient toutes de notre première rencontre avec Jane Austen…
Ce fut tardif pour moi, mais un coup de foudre immédiat.
J’avais 20 ans. J’étais malade. Ma copine Isabelle (qu’elle soit bénie) m’apportait par sacs de 10 ou 15 les VHS de sa collection familiale… Lire la suite