Obsession joaillière sur chevalière

Je ne sais pas pour vous, mais moi, de temps en temps, il m’arrive de développer une obsession pour quelque chose qui n’est pas du tout moi. La dernière a duré plusieurs mois.

L’année dernière, dans une page de Elle, je repère une bague. Pas une bague finement ouvragée à la Buccellati, ni un bouquet de fleurs émaillées par Victoire de Castellane pour Dior, ni même un camélia Chanel… En fait, le contraire des bagues que j’aime : une chevalière massive, bling-bling, pas mais alors pas du tout adaptée à mes doigts qui ressemblent plus à des saucisses apéritif Herta qu’à de longs et fins biscuits Mikado. Lire la suite