La semaine dernière, je vous racontais Paolo et moi, dans Paris que l’amitié réchauffe en automne… et sa leçon de photographie sommaire face à une vitrine très récalcitrante, celle de la boutique 58M.
Il m’a bien eue en retour, vous relatant mes velléités tyranniques révélées dans notre méthode de travail à distance, le fourbe !
Figurez-vous que j’ai trouvé, toute seule, comme une grande, LA solution aux problèmes de reflets.
A Paris, les boutiques tournent, c’est le jeu des chaises musicales.
Quand on évolue dans un périmètre circonscrit, arpentant les mêmes rues, léchant les mêmes vitrines, on voit les travaux, on se prépare au changement, on s’habitue doucement, on regrette et on oublie… Lire la suite →