J’ai décidé d’aborder, sous un autre angle, un sujet évoqué il y a un an déjà pour vous tenir au courant de l’évolution de mon point de vue.
Nos lecteurs les plus fidèles se rappelleront de mon article sur la photo noir et blanc, dans le cas contraire, vous pouvez le lire ici.
J’ai approfondi la question depuis, fait des tentatives avec de vieux appareils analogiques, pour finir par me rendre à l’évidence d’un emploi du temps trop chargé, et suivre le conseil de l’ami Djoule, avisé, comme d’habitude.
J’ai donc commencé à faire joujou ce soir avec DXO Film Pack pour voir un peu ce qu’il a dans le ventre.
Hélas, je vais être franc avec vous, l’heure tourne, il est très tard déjà, et je n’ai pas du tout fait assez d’essais pour savoir ce que j’en pense réellement, alors je me limiterais, dans cette première partie, à vous montrer ces quelques essais.
A chaque fois, deux images, d’abord l’original, fichier Raw exporté d’Aperture sans règlages à part un recadrage. Ensuite le résultat après passage dans DXO Film Pack. Je sais, il y a un intrus, vu que l’année dernière nous ne parlions que de noir et blanc, mais la Kodachrome 64 avait un charme indéniable qui n’a pas à rougir devant les Tri-X et autres Tmax.
Les photos ne présentent aucun intérêt en elles mêmes, je me rends compte d’ailleurs qu’il faut que je fasse un peu plus de prises de vue en dehors du cadre familial, car depuis un moment les seules photos que je fais qui soient intéressantes sont des portraits de mes filles, mais ça c’est une autre question.
J’ai donc pris cinq minutes ce matin pour faire quelques images pour ce test, en allant au bureau.
On se retrouve très prochainement, pour un vrai test, des explications et des images haute résolution pour pouvoir en discuter sérieusement, mais je dois admettre que je commence à me prendre au jeu du développement digital, hein Djoule? 😉
Paolo
Oula ! J’émets des conseils avisés moi ?
Des remarques dans le désordre :
– Continue Paolo tu m’intéresses (voire ça me donne envie de jouer aussi avec dxo)
– Je continue de rêver que les premiers dos numériques pro qui sont aujourd’hui totalement techniquement obsolètes (surtout si l’on considère la guerre du kiki : c’est moi qui ait la plus grosse définition) arrive un jour sur le marché de l’occasion à un tarif raisonnable
– Oui je crois que je rêve…
– A quand un article sur les phénomènes : instagram ou hipstamatic ? 😉
Salut Paolo,
Je sais que ton temps est précieux mais je reste dans l’attente de tes conclusions (et je ne suis pas le seul), et d’une deuxième partie à ce chapitre passionnant.
Je n’oublie pas, je n’oublie pas… 🙂