C’est Dimanche, je suis sur mon canapé, je déprime…

D’abord pourquoi faut-il que je me réveille si tôt toujours ? Grasse matinée, connais pas.

Et puis Je suis seule, sans Lancelot.

Du coup, pour ceux qui n’ont pas twitter ou Facebook, et pour compléter ma collection de tubes de Terry Costwater, j’ai décidé de vous mettre ici son dernier clip.

Il devrait vous rappeler Bridget Jones en version masculine et j’avoue que ça n’a pas été pour me déplaire, car j’adore, dans la solitude et la salle de bains, beugler cette musique.

Voilà le clip. Chaque détail en est un bijou. Les larmes me viennent, rien qu’en anticipant le piano qui va partir…

Prêts ? Cliquez.

Ben voilà !

Après la reconquête de son amour perdu, les plaisirs de la chair dans le foin, on passe aux choses sérieuses : la choucroute !

Je ne peux malheureusement pas vous dévoiler les derniers rebondissements de la vie sentimentale de Terry Costwater – Dietrich Kostwasser, car voyez-vous, il n’est pas impossible qu’un de ces jours…

Enfin je rêve là, je me vois déjà en Bavière, faisant dédicacer ma photo à l’artiste maudit et adulé.

Mais tout de même, sait-on jamais.

Je ne dis rien, superstitieuse que je suis.

Ah si je vais dire un truc : « Terryyyy !!!! Je suis folle de toi mais t’as gardé l’étiquette de ton sous-pull, puis ta moustache se décolle… Tu as désespérément besoin d’une styliste pour retrouver l’amour ! Alors voilà, je suis à toi. »

A demain les zamis !

Lien :
Retrouvez tous ses clips sur Le site internet de Terry Costwater et faites comme moi : en pyjama, hurlez « Ohne Diiiiich »… en prenant la télécommande pour micro.
Non je ne suis pas pathétique, juste très sensible.