Dimanche matin, je me promène sur le web et je tombe sur un lien qui m’intrigue. Une émission au titre étrange, « J’irai LOLer sur vos tombes » sur le site web Ankama.com
Comme justement hier j’ai eu avec un ami une discussion sur l’expression « Vous m’avez bien fait LOLer », et le chemin étrange que prend la langue parfois, je suis attiré, je clique, et là, à ma grande surprise, je tombe sur 75 minutes d’interview d’Alexandre Astier.
J’ai passé un très bon moment, avec un Geek, avec un G majuscule, alors j’ai eu envie de le partager avec vous, même si vous devez être toutes et tous en train de chercher la solution à l’énigme d’Anne… (mais ça devrait vous laisser à peu près 23h 59′ 53″ libres aujourd’hui, l’énigme 😉 )
J’extrais juste une phrase, avec laquelle je suis en accord total, pour vous donner une idée de la teneur de l’interview. Après 1h, 1 minute et 30 secondes, Alexandre Astier dit en parlant des Lego, tout en montrant son porte-clés Lego (oui, je sais, c’est obsessionnel):
« Ça, c’est la base de tout. Quand tu regardes un gamin, que tu regardes comment il joue au Lego, tu as compris quel d’adulte ce sera. »
Paolo
Bon alors j’ai édité ton billet pour mettre un lien vers cette énigme qui n’est pas la MIENNE en particulier 😉
D’abord je te ferais dire que ce qui est compliqué ce n’est pas de résoudre l’énigme, c’est d’essayer d’expliquer à quelqu’un qui n’a pas compris pourquoi le raisonnement y était fallacieux.
Je t’y invite.
ET j’adore Alexandre Astier !!!
Merci donc.
Top Top Top !
Invitation acceptée, et honorée 😉
Sur papier glacé, blog, interview péplum, il me fascine el King Alexandre. Y en aurait trop long de merveilles à tartiner en spirale autour de sa table. Résumé depuis mon nombril : j’avais kill the tv une fois pour toutes et sciemment coupé mes antennes de fourmi, donc réussi l’exploit de zapper la série. Si, si. En 2009, et parce que les bonnes choses, les succulentes recettes artisanales ( vous connaissez Terry Pratchett ? ) finissent toujours par se manifester entre les tasses de café, les volutes de silence, les risettes, les coups d’bec, et quelques notes de musique, j’ai goûté sa Kamelott sur galette digitale. /acclame