Let me explain what exactly a Lamp-A-Shade is. The lampashade is a stubborn urban creature that grows suddenly from nowhere and is persistent in bringing its neon fruit on fire during the night. It standstills like a tree, one might think, except it has no branches, no leaves, and absolutely no pity towards insects nor motor bugs. Flies, butterflies, mosquitos, and asphalt one or two bright eyed roaring animals seem to share a peculiar attraction to it, sometimes deadly. (extract from « George of the E-Jungle Diary »)
Je vais vous expliquer ce qu’est exactement un Lampaform. Le lampaform est une créature urbaine bornée qui surgit de nulle part et s’obstine à enflammer son néon-fruit pendant la nuit. Il est immobile comme un arbre, à première vue, cependant il n’a pas de branches, pas de feuilles, et aucune pitié envers les insectes ni les bestioles à moteur. Mouches, papillons, moustiques, et bitume-animaux rugissants à un ou deux yeux brilliants semblent partager une étrange attirance, parfois mortelle, pour ce machin. (extrait de « Journal de George de l’E-Jungle »)
Let me explain what exactly a Lamp-A-Shade is. The lampashade is a stubborn urban creature that grows suddenly from nowhere and is persistent in bringing its neon fruit on fire during the night. It standstills like a tree, one might think, except it has no branches, no leaves, and absolutely no pity towards insects nor motor bugs. Flies, butterflies, mosquitos, and asphalt one or two bright eyed roaring animals seem to share a peculiar attraction to it, sometimes deadly. (extract from « George of the E-Jungle Diary »)
Je vais vous expliquer ce qu’est exactement un Lampaform. Le lampaform est une créature urbaine bornée qui surgit de nulle part et s’obstine à enflammer son néon-fruit pendant la nuit. Il est immobile comme un arbre, à première vue, cependant il n’a pas de branches, pas de feuilles, et aucune pitié envers les insectes ni les bestioles à moteur. Mouches, papillons, moustiques, et bitume-animaux rugissants à un ou deux yeux brilliants semblent partager une étrange attirance, parfois mortelle, pour ce machin. (extrait de « Journal de George de l’E-Jungle »)